Véronique Le Ru

Pour des milieux vivants partagés. Nouvelles réflexions sur l’universel

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Maintenir et développer la biodiversité des milieux vivants, assurer la qualité de vie et la durabilité des socio-écosystèmes imposent une réflexion sur l’universel. Mais cela engage une nouvelle conception de l’universel décentrée de l’humain et refondée dans les milieux vivants (qui incluent l’espèce humaine). Il s’agit de définir dans une perspective universaliste la notion de milieu vivant à partir des trois notions individu/espèce/milieu et de la notion de socio-écosystème qui comporte la cohabitation de plusieurs espèces vivantes et donc de plusieurs milieux relatifs aux différentes espèces qui y sont présentes, y compris les humains.

Véronique Le Ru est professeure des universités en philosophie à l’Université de Reims ; elle est l’autrice de plusieurs ouvrages dont celui issu de sa thèse, D’Alembert philosophe (Vrin, 1994), l’ouvrage issu de son habilitation à diriger des recherches, La crise de la substance et de la causalité (CNRS éditions, 2003) et récemment Émilie du Châtelet philosophe (Garnier, 2019). Son livre de 2010, La Science et Dieu, a été réédité aux Editions Matériologiques en 2020 sous le titre Oser penser avec Emilie du Châtelet, D’Alembert, Poincaré… La distinction entre croire et savoir.